Étendue au quart du département, cette dépression naturelle, préservée des assauts de la marée par les portes à flots sur la Douve au fond de la Baie des Veys, offre un territoire unique au brochet, à la carpe, au sandre, et bien sûr, à l’anguille.

En hiver, les marais blanchissent : les prairies se recouvrent d’eau douce, et il faut attendre le printemps pour retrouver les cours du Merderet, de la Douve, de la Sève, de la Madeleine, de la Taute.

Ils sont réputés pour les carnassiers et la carpe.

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